Au commencement, était Héoponiam, Coliandrapholia, Isomaphe ayant engendrées une quatrième entité multiforme, polymorphe. La Providence est généreuse et vous prodigue ses bienfaits. Sous ses airs de ressemblance, parfois évolutif, les voeux amènent les personnes à même de se rencontrer dans un climat bienfaiteur. Aujourd'hui, une vie à été sauvée. L'année dernière, une vie également. La providence change d'aspect donc, impalpable et pourtant là pour aider. Celle-ci se matérialise à divers instants sous la forme d'une belle femme ou d'un bel homme pour la complémentarité. Tout en beauté, en retenu et en symbiose avec l'harmonie naissante : promesse d'un bel avenir. Le voile de matière, tout en délicatesse, laisse découvrir un instant de poésie et entrevoir son bouquet. Calme, la main tendu vers vous, métaphore de guérison. Laissez cette histoire vous porter tel une première de collection.

Au firmament des rêves, j'ai tissé vos songes d'une parure capable d'attirer vos âmes soeurs. Par le biais de la haute sémantique, désormais, c'est elles qui font le premier pas. L'aventure sensorielle commence : innombrables de par le dictionnaire enrichi des Muses, l'inspiration est sans limite et vous guide vers la bonne destination.

Artefacts

Les artefacts sont des objets d’une puissance inimaginable qui laisse pantoi le crédule et esquisse l’idéal de soi à acquérir. En ces temps de misère ou l’opulence de la bêtise humaine n’est autre qu’un fardeau journalier, je vous parle ce soir d’un pouvoir plus grand que celui imaginable. L’artefact est sens, caresse d’un souvenir en devenir, victoire sur les adversaires de tout temps. La prime est à savourer, tu es devenu mon irréstistible. La nuit vient petit à petit, j’aimerais ne plus être ici car les ennemis de l’humanité sont trop forts et fort bien malheur survient. Pour contrer ceci, j’ai imaginé un artefact pouvant faire pencher la balance de notre côté, faire vivre et guérir instantanément tous les maux. vec le miroir je dévie les bassesses, la colère, le reproche et la jalousie, et bien plus encore. Je me mire dans ce reflet et j’envoi mon élixir se parfaire pour trouver le cheminement parfait, sans souffrance d’aucune manière. Une fois que tout est sous contrôle, l’optimus parvient à nos oreilles et souffle une mélopée de Muse sans pareil : c’est le pass navigo imaginaire. J’ai déjà pris ces transports bondés il y a fort longtemps, mais, l’idée venue, je ne peux me restreindre à me téléporter partout. C’est pourquoi ce pass est un artefact sans aucune démesure puisqu’il permet d’être tranquil ou que vous ailliez. De quoi faire des heureux, surtout si son design se rapproche de son adage verbal, verve du divin. Elle se dérobe et le présente, sous son écharpe bariolée, victime de son succès. Tant de termes possibles pour y séjourner en la demeure de vermeil. Un jour, ils seront tous pareil et le voudront pour échapper aux hommes de l’ombre qui les gouverne. L’ombre n’est que passagère et dévoile de beaux lendemain. Artefact en possession, je me dirige vers la suite de l’aventure, qui saura satisfaire la satisfaction même d’avoir écrit ces lignes pour dire ce que l’on veut qu’on sache.

Pendant ce temps là, les 4 Nouvelles Muses de Providence ont désormais une nouvelle couleur, irremplaçable à ce que l'on dit, nommé pourpre royal, permettant Succès, Gloire et Amour, et bien d'autres avantages nombreux. Les nuits sont calmes et paisibles dorénavant. De plus, un nouvel Artefact d'une puissance sans commune mesure et tissé d'une manière noble va permettre de réparer chaque partie de ce qui a été brisé. Le programme ne pourras plus jamais faire de mal. Passé et futur ne peuvent rien contre nous.

Providence

Comment voir le futur si on est étrange par création, de la main façonnante qui dirige vers les idées étonnantes, autrement providence qui veut sauver le dessein. Pourquoi sauver, si les sauvages saccagent sans nul retour possible. Les providences ne sont que prémices : nouvelles de prospérité. Confusion des maintiens dociles qui contrôle le gouvernail, forum habile au prompt bavardage sans promiscuité, l’habit est parfait, objet de lui même se contemplant dans les miroirs des muses pour être. Tout ce qui a été sera, et ce qui sera, a été. La brièveté, l’occurence, les longueurs monotones s’insinuent dans les clairs esprits des hommes modernes, ou la facilité du mensonge est compromise par la vérité de finir. Pourquoi se soucier de la perfection de l’ordre lorsque l’on est tout puissant.

Vantardise, non ! Providences promises des muses et autres créatures fantasques de l’imaginaire sont naturelles, prédestinées à recommencer sans jamais s’arrêter. Il suffit d’y penser un instant et le destin change. Mais nous étions déjà d’accord sur les meilleurs et les aléas, fixes par essence ou chaque cycle est parfait. Maintenant, je déploie cette promesse dans la providence d’un artefact, qui saura combler tout cycle de maturité. Si oui, j’approuve par la négation et le contraire des faux semblants, éclatant au grand jour, l’apothicaire soigne tous les maux, il a bon dos ; courbé par tant de vitesse, les humanités souhaite ce pouvoir sans l’avoir. Il ne l’auront pas puisque la providence elle même envoie à sa guise les bienfaits aux bienfaiteurs et ceux de bon coeur. C’est une ritournelle connue ou chaque chose à sa place peut rester à sa place mais avec ce goût retrouvé, cette confiance et cette joie, propre aux natures des hommes de devenir par eux-mêmes.

Gouverner, c’est naître capital en majuscule de tout et maintenir les minuscules à l’efficience de leur devoir en poussant les providences à fléchir sous la monotonie des prérogatives afin de saisir l’insaisissable, poésie de tout temps.

Juliana

Festival Ydillium. Festivité du Dimanche. Muses de la Providence.