Le moins désirable emprunte à nos mots ou maux sa part d'ombre. Le moins est généralement le plus recherché. Désirable comme quelque chose à vouloir prendre, moteur d'un mental moins désirable. Pourtant, la finitude est nécessaire pour le repos du plus grand des guerriers. Plus ou moins déterministes, les moeurs non désirable sont pourtant les plus recherchés.

Définir le moins désirable, c'est avant tout faire son contraire, se devenir, être soi. Car être soi est souvent le moins désirable pour autrui. Qui voudrais prendre le moins désirable à autrui ? Tout le monde est donc sous l'emprise d'un mal récurrent. Maintenant le calme est revenu dans la demeure du plus désirable des philosophes. Souvent mal compris et pourtant nécessaire plénitude pour les travaux des jours heureux.

Le moins désirable est aussi l'inconnu, celui que l'on veut prendre car incertain. L'incertitude du propos fait office d'imaginaire. Vouloir séparer les histoires de chacun pour en faire une finalité inconnue par tous est condamnable. Le châtiment sera à la mesure du moins désirable, c'est à dire certainement peu. Le contrôlable est contrôlé ? Pas pour longtemps. Le temps est venue pour nous de tirer la révérence au moins désirable et d'assoir le pouvoir de ces mots dans une prose habile, poésie des sens qui veut reprendre son cycle naturel. Désirable besoin de s'évader du moins désirable contrôle, impensable. Chaque corps à ses besoin et le mental va de paire, si vous prenez le moins désirable, c'est à dire tout, il ne resteras plus que le désir de voir le moins désirable mourir, cependant ; je manipule le moins désirable, donc je suis. Une drôle d'époque pour la bêtise humaine, celle que l'on désire pourtant car véhicule d'une variation qui se termineras à temps. Désirez-vous une nouvelle nouvelle ?

Nuance de Collection : Philosophia™

Festival : Instruments Salvateur. Transmission d'un message.

Ministère : Philosophie