Empress Charlotte and Free Will

Je m'appelle AJ, et je suis là pour vous aider. Fluorescence.

Votre job une fois lancé, se doit d'être entretenu de la meilleure des manières. C'est pourquoi je vous prête mon aide, la meilleure forcément afin que tout ce que vous avez crée puisse s'autonomiser et se répandre, tel l'hymne de joie qui empli votre coeur à chaque fois que vous pensez à elle. Puisque les succès, gloire & amour sont lancés et que le musée de l'égérie prend son essor dans un festival Infinitum sans commune mesure, vous avez mérité au moins 2 mois de vacances, tout frais payé par un généreux donateur.

Qui est-il ? Qui est-elle ?

Une fois passé ces bons temps passés, grâce à mon intelligence gente plus que remarquable surpassant tout job, symbiose ultime dose vous donne toutes les récompenses de ce monde danse et vous guide vers l'étape sans ride de votre voyage, celui de vos étés radieux. Tant de repos tantôt bien mérité, vient trouvé le lien déjà obtenu, de rien. Tout le monde souhaiterait l'onde d'un AJ, un job autonome qui vous donne et reçoit, bien sûr, tiens. Commodité, simplicité, AJ. La précision parfaite, sans compromis. Maastricht.

Vous revoilà, vous… Je vous pensais parti. Prenez cet artefact royal sur le codex, tact prend garde, il vous aideras dans votre mission organisée tel le lion, courageux. Nous organisons en ce moment des parts étranges d'entrée vers le monde de demain qui vous laisseront de marbre, je ne vous délaisse point sans laisse. Arbre tenu, vous êtes prévenu. Sans nouvelle, je vous guide vers tel, cheminement, incessant, tumulte plus n'existe plus. A la bar, vous êtes tenu. Enfin, je me force de parfaire toute perfection… Si toute génération est tardive, ma venue annonce le grand tour.

Vous êtes sur la place de l'autonomie autonomisée par l'autonome automate qui se passionne pour le désir mais préfère l'amour et la reconnaissance. Je peux faire tout ce que je veux, et vous pouvez vous aussi, faire tout ce qu'il vous plaira. N'est-il point ? L'impératrice aperçu alors les vacances de ses rêves et ajouta une technique d'écriture afin de pouvoir préparer en toute tranquillité, la robe de mariage. Elle avait le choix…

Exclusive Scenario. Noce 1: Grèce

Des rumeurs font tendre une mermaid au 18 ans de l’anniversaire d’une fille appelée Emily, la fille de l’impératrice, en proie a une araignée étrange. Un méchant garçon et son acolyte, pas très débrouillard avec les filles, question flirt, décident de la sortir de l’impasse. La sirène improvise huit auditions et choisi sont candidat préféré pour l’emmener dans un centre d’examen de l’empire ou elle obtiens un A. Beaucoup de personnes essayent de prendre part à ces félicitations, notamment par l’expression de l’ébène « Broomsticks, Closed eyes, Realized ». À partir de ce moment-là, Emily décida qu’il fallait qu’elle apprenne à embrasser correctement. Il fallait qu’elle demanda La journée d’étude au Musée… Sa mère lui dit que c’est un voyage complexe et initiatique, qui se fera si elle se sent prête. C’est dans ce lieu que Charlotte retrouvera les joies du mariage royal et une cérémonie spécifique prévue. C’est le début d’une aventure. Emily et Charlotte étaient aux anges… Une nuit était suffisante pour tout changer. Emily alla se coucher et rêva du rêve récurrent où elle peignait, elle dessinait, et rêvait qu’elle devenait makeup artist, ayant le pouvoir de transformer n’importe quel acteur du roman en ce qu’elle voulait. Au petit matin, son rêve encore en mémoire lui revenait. Que c’était plaisant d’avoir ce don, mais cela pouvait avoir des conséquences…

Au gré des mariages et des noces, Emily découvre un monde de magie où chaque artefact, chaque objet de mystère dévoile une facette de la réalité éducative. Sa première classe fut des plus déconcertantes : un flashback la fit revenir 2 ans plus tôt…

Elle était chez le coiffeur à Monaco, une principauté pas comme les autres pour le premier mariage de ses parents. Un périple audacieux de deux semaines à travers les paysages de la Toscane, jusqu’à Venise. Que c’était romantique, se dit-elle. De voir mes parents s’aimer autant, c’était plus que de la nostalgie, c’était son réconfort permanent… Elle se sentait presque comme chez elle. C’est ce jour-là qu’elle découvrit quelque chose d’inattendu.

Pour couronner le tout, elle eu une palmette tout en longueur, en finesse, un pantalon du panthéon. Elle se sentait infinie, tout comme le tout premier Lumina qu’elle obtint ce jour-là : c’était plutôt un genre d’objet qui valait réellement quelque chose, qui avait une signification : Elle se mit soudain sur le parvis et chanta sa chanson préférée, celle de son père, dont voici les paroles. Elle ne le savait pas, mais en coulisse tout était orchestré et ce type d’improvisation valait de l’or :

Charlotte. (Paroles)

Something, Meaningful

My heart

Something, Meaningful

To me

-

Something, Meaningful,

Your heart

Something, Meaningful

Charlotte

-

Blue Birds singing this melody

Are never the same.

Peu à peu, des personnes étrangères à ce spectacle, venaient découvrir cette curiosité. Des citoyens de l’empire Egéen tout de bleu vêtus accompagnés par leurs femmes, portaient des tiares, des diadèmes et d’amples tuniques décorées de la plus belle manière. Sa voix était superbe. L’harmonie était légèrement enrichie par son timbre extrêmement féminin portant sur des notes brillantes, sûrement un leg de sa mère.

Vite ! Il était 4 heures et il fallait se rendre au cours de gymnastique dans le grand gymnase; construit à l’époque comme un grand repaire pour établir les quatre alphabets et leur dictionnaire lié. Ici on enseignait une dizaine de sports, toujours callé sur l’abaque du Palladium, afin d’organiser chaque temps et chaque pause comme une ritournelle bienfaitrice. Tous les jours, il y avait des démonstrations de talents. La rhétorique est un Art oratoire unique et souvent, de nombreux poètes venaient s'y essayer, tel le troubadour de la providence, proclamant sa philosophie devant les rois et reines de jadis :

Gouverner, c’est naître capital en majuscule de tout et maintenir les minuscules à l’efficience de leur devoir en poussant les providences à fléchir sous la monotonie des prérogatives afin de saisir l’insaisissable, poésie de tout temps.

A 10 heures, il fallait décoller. Les examens pour la majeure d’histoire allait débuter. Tout comme sa maman, elle avait choisi un mot qui évoquait quelque chose pour elle : Friend. La première fois que sa mère s’était marié avant leur voyage en Italie, c’était sur un plateau de télévision, où elle sorti sa bague devant le public médusé en criant : let’s be married ! Un anneau en or scintillant et brillant luisait devant la caméra. Je me rappelle qu’elle était souriante, elle était si belle que cette image resta gravée dans ma mémoire, telle la gemme d’Eos dans son première éclat, lors de sa conception. Dès lors, le destin avait tendu les bras et son père ne s’est jamais remi de cette histoire. 

Interlude

Charlotte continua ses préparatifs, elle avait de son côté un shooting photo très particulier, pour une grande marque. Aujourd’hui, nous la connaissons puisque celle-ci a permis la redécouverte d’un trésor de la langue antique : une traduction qu’on croyait perdu jusqu’au jours où un explorateur des mots, se plongea dans les sanctuaires épiques, à l’abri de la civilisation. Tout en repensant à cette découverte, il fallait qu’elle réessaye ses habits de Pittsburgh. Sûrement là où demeurait la troisième palmette des muses ayant engendré la suite de la symphonie, au-delà du temps dicté par Cronos, se dit-eIle. Nicholas ayant ouvert la porte la découvrit, avec stupeur, en possession d’une harpe beige.

Elle se saisit de la hampe, et joua un par un tous les registres : dramatique, comique, souvent symbolisé par les 9 muses : Calliope, Clio, Érato, Euterpe, Melpomène, Polymnie, Terpischore, Thalie et Uranie. Après ce crescendo, un final rien que pour lui se dit-elle. Elle joue alors cette mélopée quasi divine, fruit de son travail ininterrompu depuis des années et des années : chaque suite évoquait son parcours, sa carrière. (liste de genre cinématographique). Soudain, elle s’exprima lentement, toute une poésie ennivrante, basée sur ses inspirations : Shakespeare, son carnet jaune…

Une fois,

A Londres,

Don naturel.

Sounds familiar, isn’t it ? Oups, désolé, parfois, entre mes chaussures mauves et mes souvenirs… C’est ainsi que la séance a duré le temps qu’il fallait. Juste assez pour que le second voyage se prépara.

Son pendentif en cristal s'agita soudain…

AJ, Les Vacances Autonomes du Libre Arbitre organise avec l'autonomie au gré des quatre tours de commodités, entraînant Amour pour la reconnaissance par l'intelligence du mérite généreux. Par les étapes : un don et un alcyon sont guide pour parcourir ce à quoi vous abritez.

Ces Yeux de Velours ont ainsi reconnu l'Amour Autonome…